▼ Emploi : Hôtesse au club d'Ah Ran | Sujet: Reina △ « Ce qui ne me détruit pas me rend plus fort. » Dim Jan 26 2014, 21:52 | |
| recrue Maeda Reina
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nom: Maedaprénom: Reinaâge: 20 ansdate de naissance: 12 décembrelieu de naissance: Tokyoorientation sexuelle: Bisexuelleprofession: Hôtesse dans le club d'Ah Rannom de code: Laiagroupe: Civilscélébrité choisie: Park Hye Min - Pony (Ulzzang)
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histoire« Il n’y a pas de repos pour les faibles. » Cette phrase, Reina l’a entendu dès sa petite enfance, sans pour autant en comprendre le sens. Son père ne cessait de la lui répéter, à force elle la connaissait par cœur. Née dans une famille pauvre à Tokyo, la japonaise avait fait tôt de remarquer que ses parents devaient travailler dur pour qu’ils puissent vivre convenablement. Petite déjà, elle ne comprenait pas pourquoi certains de ces camarades de classe avaient plus d’affaires et de jouets qu’elle. Grandissant dans cet univers d’inégalités, la petite avait beaucoup de mal à avoir un minimum de confiance en soi pour faire ses preuves. Et pourtant on lui répétait qu’elle avait du potentiel dans certains domaines, qu’elle avait les compétences pour réussir. Autant elle aurait bien voulu croire à tout ça, dans le fond, elle n’y arrivait jamais jusqu’au bout. Il y avait toujours un moment où elle se sentait écartée de la course sans trop comprendre pourquoi. Les riches réussissaient toujours mieux que les pauvres car ils avaient tous les moyens possibles pour y parvenir. Reina trouvait cela injuste de ne pas pouvoir participer à une sortie scolaire parce que ses parents n’avaient pas assez d’argent pour la lui payer. Elle trouvait cela injuste que ces camarades aient tous les moyens technologiques inimaginables mis à leur disposition juste parce que leurs parents en avaient les moyens. Et dire que certains ne comprenaient même pas leurs chances. Reina pouvait lire la fatigue sur le visage de ses parents lorsqu’ils rentraient le soir de leur travail respectif. Sa mère était femme de ménage dans un hôtel de luxe et son père était un simple employé d’une usine et il se devait de faire ses preuves chaque jour pour ne pas être remplacé.
Cette injustice s’insinuait de plus en plus en elle, se développant au fil des années. Plus elle montait dans son cursus scolaire, plus elle se trouvait révoltée devant cette hiérarchie. Les pauvres écrasés par les riches. Ce sentiment de puissance qu’ils avaient tous, comme s’ils valaient tous mieux qu’elle. Elle était sûre du contraire, elle au moins, elle avait le mérite d’être parvenu jusqu’à là où elle en était par ses propres moyens. Mais même si cela aurait pu lui donner de la fierté envers elle-même, elle comprenait que malgré tous les efforts qu’elle pouvait faire, rien ne changerait. Elle serait toujours en bas de l’échelle, passant après les personnes fortunées. Passionnée par les livres depuis toute petite, elle avait connu le ressentiment de n’être vu comme la petite boursière qui n’avait sans doute pas sa place dans une école d’édition. Mais malgré tout, elle avait tout donné, on ne se débarrassait pas d’elle comme ça. Elle bossait sans relâche, elle avait hâte de rentrer dans la vie active pour aider ses parents. « Il n’y a pas de repos pour les faibles. » Cette phrase tournait en boucle dans sa tête, elle n'en avait pas encore réellement compris le sens, mais elle se motivait en se la répétant encore et encore quand elle sentait qu’elle allait lâcher. Elle était sûre qu’un jour les choses changeront. Elle ne savait pas comment, mais si comme elle, d’autres personnes qui n’étaient pas nées avec une cuillère d’or dans la bouche réussissaient, ils pourront peut-être effacer ces inégalités. Montrer que chaque personne veut autant que les autres.
Et pourtant c’est cette injustice qui la frappa de plein fouet lorsqu’elle finit ses études et qu’elle désirait rentrer dans le monde du travail. Elle avait beau être sortie d’une grande maison d’édition, avoir fournis d’efforts pendant tant d’années, elle se retrouvait encore mise en arrière. Dans l’édition, cet univers impitoyable, elle s’était fait passé devant par des personnes moins douées, mais qui avait un nom. Des parents riches. Bien sûr. Comme d’habitude. Elle avait freiné une grande montée de colère en elle lorsqu’on lui avait annoncé que des postes qu’elle convoitait depuis le début de ses études seraient attribués à d’autres personnes de sa promotion qu’elle connaissait de vu et qui avaient déjà tout pour eux. Elle en aurait pleuré de rage si elle n’avait pas eu un minium de fierté. Comment avoir confiance en soi si à chaque effort, on se retrouve encore plus bas qu’avant ? Mais elle s’était tue. Et même si elle haussait la voix, même si elle dénonçait ces inégalités, qu’est-ce que cela pourrait bien changer à ce monde injuste ? Les portes des grandes maisons d’éditions se fermaient chaque jour derrière elle et elle désespérait de ne pas pouvoir aider ses parents. Mais ses recherches de travail n’était jamais fructueuse. Son nom n’était pas connu, elle n’avait pas d’argent et pas vraiment les moyens de s’habiller aussi bien que certains demandeurs d’emplois. Et s’il y avait bien quelque chose qui menaçait de la faire sortir de ces gonds à chaque fois qu’elle y était confronté c’était bien le piston.
En pleine recherche de travail, la jeune femme dû aussi remplacer sa mère à son travail. Celle-ci était tombée malade, elle ne pouvait pas ne pas aller à son travail sous peine d’être renvoyée. Reina la remplace pendant quelques semaines. C’est dans cet établissement que son ressentiment grandit de plus en plus, elle détestait voir tout cet étalas de richesse sous ses yeux. Voir ses personnes toutes puissantes qui ne considéraient les autres comme leurs esclaves. Car c’était comme ça qu’ils gagnaient leurs vies. En faisant travailler les autres pour eux. En faisant travailler des personnes comme ses parents et maintenant, comme elle. C’était terriblement injuste, et elle espérait grandement que cela changerait. C’est lorsqu’elle tomba sur une scène à l’hôtel qu’elle savait qu’elle venait de prendre la décision qui changerait totalement sa vie. Voir cette bande de fils de riches s’en prendre violement à une des femmes de chambre parce qu’elle ne nettoyait pas assez vite ce qu’ils avaient salis l’avait profondément marqué. Elle ne serait plus jamais l’esclave de ces personnes qui n’avaient jamais mérité ne serait-ce qu’un centime de leur argent. Elle en avait marre d’éprouver du remords de ne rien faire pour changer les choses, d’éprouver de la peine pour ses parents. Ce sentiment d’incapacité qui l’habitait, elle en avait plus qu’assez. Elle allait leur montrer, elle allait devenir forte. Et pour devenir forte, il n’y avait qu’un seul moyen.
Elle stoppa toute recherche de travail dans les maisons d’édition, à quoi bon de passer par la légalité ? Reina se fit embauchée, assez facilement pour une fois, en tant qu’hôtesse dans un club. Elle n’était pas idiote et savait très bien qui dirigeait ces établissements. La mafia. Et si elle devait passer par la mafia pour être forte, elle le ferait. Entourée chaque jour par des personnes puissantes, elle faisait tous les efforts possibles pour être la meilleure. Elle n’avait jamais dit à ses parents quel métier elle s’était trouvé, leur mentant. Elle ne ramenait pas encore beaucoup d’argent, mais c’était déjà mieux que rien, elle n’avait plus le sentiment d’être un poids inutile pour eux. Elle avait hâte que le vent tourne enfin en sa faveur. Elle savait qu’elle avait les compétences pour réussir dans ce domaine, même si elle s’était avant tout occupée de son esprit que de son corps pendant ces années d’étude. Elle avait déjà eu le courage de prendre la décision de changer, elle deviendrait assez forte pour montrer à tous sa valeur. Et elle eut la chance de pouvoir le faire. Un jour, une femme l’aborda, une sud-coréenne nommée Ah Ran. À peine cette dernière lui avait adressé quelques mots que Reina sut qu’elle voulait devenir comme elle. Forte et fière, elle dégageait ce sentiment de puissance et d’importance qu’ont les plus puissants. En tout cas, cette femme avait du voir du potentiel en la japonaise car elle lui proposa de l’accompagner en Corée du Sud afin de le développer. Elle n’hésita pas à une seule seconde.
Une fois en Corée, non sans avoir promis à ses parents qu’elle leur enverrait toujours une part de son salaire, argent dont elle cachait toujours l’origine, Reina se surprit à rêver à ce potentiel qu’avait vu Ah Ran. Elle allait donner le meilleur d’elle-même, montrer à tous qu’une fille d’une famille de pauvre pouvait très bien effacée ces inégalités et se rapprocher encore plus de cette force des plus puissants. Elle deviendrait forte. Forte comme lorsqu’elle s’était fait tatouée la phrase que lui répétait tant son père, « Il n’y a pas de repos pour les faibles. » juste en dessous de son sein gauche. Elle deviendrait forte et serait enfin considérée à sa juste valeur. Une valeur qu’elle était sûre de mériter et ce depuis toute petite.
caractèreIl y a deux manières de voir Reina. La première est la vision qu’ont les autres d’elle et l’autre est la vision que Reina a d’elle-même. Quand on la voit pour la première fois, on voit une jeune femme sûre d’elle, qui ne se laisse pas abattre à la première contrariété, à la première difficulté, qui passe au-dessous de tout. La japonaise est forte et elle le montre bien. On peut la trouver hautaine parfois, mais la jeune femme sait juste ce qu’elle vaut quand bon nombre de femmes se cherchent encore. Elle sait qu’elle a de la valeur, du potentiel et elle compte bien le faire savoir. Reina n’a pas froid aux yeux et est prête à faire comprendre qu’elle ne se laissera pas avoir par le premier venu. Mais tout ça n’est qu’une façade. Il suffit de connaitre la Reina d’avant pour savoir qu’au fond, elle n’a pas changé d’un pouce.
Fière ? Forte ? Loin de là. La japonaise n’a aucune confiance en elle et si elle n’avait pas cette carapace d’une dureté impressionnante, elle se ferait écraser à la moindre remarque, à la moindre critique, le moindre petit reproche même si celui-ci pourrait lui permettre d’avancer. Et le pire c’est qu’elle aurait bien du mal à se relever. Reina a une très mauvaise image d’elle, une estime bien peu importante. Jamais elle ne s’est fait le moindre compliment après s’être regardée dans une glace ou juste après avoir eu une bonne note en cours. Alors elle a bien du mal à accepter ou juste à croire les compliments que les autres lui font. Parce que c’est bien gentil, mais est-ce que ça a déjà réussi à lui faire obtenir un travail dans son domaine d’étude pour lequel elle a tant travaillé ? Est-ce que ses parents ont gagné plus d’argent malgré les compliments qu’ils ont reçu sur leurs durs labeurs fournis au travail ? Non. Alors évitez de lui mentir en la complimentant, en pensant que ça lui ferait plaisir. Et même si vous ne mentez pas, cela ne servira à rien.
Derrière cette image de femme forte, qui ne craint pas les critiques, il y a une jeune fille sensible et qui est fortement touchée par les reproches qu’on pourrait lui faire. Elle ne supporte pas les critiques, encore moins que les compliments, car a contrario, ceux-ci la blessent au lieu de la laisser indifférente. Elle a bien du mal à ne pas flancher quand on lui en adresse, tentant de garder son sourire et son attitude limite hautaine « bouge de là, tu me gâche la vue ». Pour ceux qui ne s’arrête pas à cette image et qui ont, surtout, beaucoup de courage, ils pourront découvrir que Reina ne demande qu’à être reconnu pour ce qu’elle fait, pour tout le travail qu’elle fournit. Elle n’ira jamais demander de l’aide, dans le milieu où elle est, aide rime avec faiblesse. Et puis surtout, Reina ne veut pas la décevoir.
Car la japonaise est en admiration totale devant sa patronne, la gérante du club d’hôtesse, Ah Ran. Elle est tout ce que Reina a toujours voulu être : forte et reconnue. Fière et qui ne se laisse pas marcher sur les pieds par tous ces hommes. Car c’est définitivement un monde masculin. Reina ne supporte pas de se faire dire ce qu’elle doit faire, d’Ah Ran cela ne la dérange pas, mais des autres, elle a vraiment du mal. Les ordres ne sont qu’un moyen de lui montrer que tous ces clients sont tous puissant, au-dessus d’elle. Et cela lui semble terriblement injustes. Ils n’ont jamais eu besoin de se battre corps et âme pour obtenir leur réputation, leurs hommes de main agissent pour eux. Reina est dotée d’un profond sentiment de justice en elle, mais la légalité n’a pas l’air de fonctionner dans ce monde-ci. Alors elle se contente d’obéir à Ah Ran et d’être forte. Correction : De ressembler à une femme forte.
secretElle cache comme elle peut sa faiblesse et sa sensibilité, comme un talon d'Achille, derrière cette attitude forte et fière, mais elle serait bien mal si on découvrait qu'au fond, il ne suffit que de reproches et de critiques pour la briser en milles morceaux et la faire retomber au plus bas. Pour tout vous dire, la vérité c'est que je suis hisae. et j'ai 21 ans. J'ai connu la guerre parce que je fais déjà la guerre èé et je me battrai tous les jouurs. Pour combattre je me cache derrière Park Hye Min - Pony qui est un prédéfini de Dieu Ainur **. Et j'ai un double compte. Si on m'autorise à dire ce que je pense chef, je dirai que je vous aimeeeee ♥.
Dernière édition par Maeda Reina le Lun Jan 27 2014, 02:21, édité 6 fois |
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TRÔNE ▼ Emploi : Animateur radio (Responsable du réseau de communication terroriste) / Contrebandier | |
▼ Emploi : Barman // Terroriste spécialisé en infiltration et explosifs | Sujet: Re: Reina △ « Ce qui ne me détruit pas me rend plus fort. » Dim Jan 26 2014, 22:12 | |
| Re-bienvenuuuuuuuuuuuuuue♥ |
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▼ Emploi : Fashionista professionnelle | Sujet: Re: Reina △ « Ce qui ne me détruit pas me rend plus fort. » Lun Jan 27 2014, 01:55 | |
| Rebienvenue Bon choix d'avatar, je te surveille >_> Fight pour ta fiche, may the force be with you |
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▼ Emploi : Hôtesse au club d'Ah Ran | Sujet: Re: Reina △ « Ce qui ne me détruit pas me rend plus fort. » Lun Jan 27 2014, 02:25 | |
| Keisuke ; j'attend mon message rempli d'amour et de bons sentiments ou pas ♥ èé
Garam ; merciiii, plein de ♥ sur toi huhu
Ayane ; encore quelqu'un qui me surveille ? ah mais ça suffit maintenant èé xD mercii beaucoup ♥ |
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TRÔNE ▼ Emploi : Animateur radio (Responsable du réseau de communication terroriste) / Contrebandier | Sujet: Re: Reina △ « Ce qui ne me détruit pas me rend plus fort. » Lun Jan 27 2014, 13:01 | |
| Tu es officiellement la meilleure des hôtesses. La plus belle. La plus parfaite. La plus tout que je dois surveiller !Félicitation ! Tout est en ordre tu fais désormais parti de nos rangs ! C'est ici que commence le véritable combat.
Commence par te trouver alliés puis lance toi dans la bataille en oubliant pas de répértorier toutes tes aventures. Tu as aussi la possibilité de nous les conter.
Mais n'oublie surtout pas de passer par le bureau des demandes pour que ta vie sur le territoire ait tout son sens. Puis, tu n'as pas envie de perdre ta sociabilité? Passer un coup de fil n'est pas interdit.Enfin, si soudainement tu te rends compte que tu perds un peu la mémoire, rends-toi ici pour ne pas te perdre en cours de route.
Se battre est fatiguant non ? Oh oui, alors viens te détendre dans flood & games.
Le staff te souhaite un bon jeu et te remercie encore pour ton inscription ! |
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▼ Emploi : Hôtesse au club d'Ah Ran | Sujet: Re: Reina △ « Ce qui ne me détruit pas me rend plus fort. » Lun Jan 27 2014, 13:18 | |
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